mercredi 18 décembre 2013

Audience du 17 décembre 2013 à Aix en Provence

Gilbert Béguian et Me Philippe Krikorian

Le 17/12/2013 s'est tenue au Tribunal d'Aix-en-Provence l'audience publique où Me Philippe Krikorian a plaidé très brillamment un dossier difficile !
A tel point, que contrairement à tous usages, avant de laisser la parole à Me Krikorian pour son exposé, le Président de la séance Me Serge Kerraudran a souhaité rendre un hommage appuyé - tant en son nom qu'aux noms des membres de la cour - au considérable travail technique, de haute volée, réalisé au cours des différentes audiences passées - et dont il a rappelé la teneur, quasiment point par point ! Montrant ainsi tout l'intérêt qu' avaient suscité les arguments fondés sur le Droit qu'avait développé Me Krikorian !
Où était le CCAF qui se targue d'être la voix des Arméniens ? Pourtant, comme chaque fois, Me Krikorian leur avait adressé une invitation - son désir n'étant pas de faire "cavalier seul" ! 
Et pour une action si importante pour notre communauté qu'est le devenir de la loi de pénalisation de la négation du génocide des Arméniens - entre autres - aucun membre ni même représentant du CCAF n'a jugé digne de la soutenir par sa présence !

Je me suis laissé dire que le CCAF* commençait à penser que, peut-être, la filière du simple Droit était à creuser ... 
et tente déjà de se l'attribuer !**

Mais nous serons là, les quelques fidèles - comme nous le sommes déjà - pour crier haut et fort la totale incompétence du CCAF qui depuis tant d'années "espère", en se laissant régulièrement endormir par les gouvernants successifs, que le succès de l'entreprise viendra,
 un jour,
 d'en-Haut ! 

*******

* J'ai souvenir d'ailleurs, que pour la première audience, le CCAF avait  - quelle honte - donné le mot d'ordre à ses adhérents de ne pas aller y soutenir Me Krikorian !

** Comme il a tenté d'occulter la plus que large participation de Me Krikorian à la proposition de loi "Boyer-Krikorian", au cours d'une réunion à laquelle assistait Valérie Krikorian, l'épouse de Me Krikorian, qui est intervenue pour demander que le nom de son époux soit cité - tout de même !
Et pour cause : l'idée même de cette voie juridique émane de Me Krikorian - dont c'est le credo depuis de nombreuses années -  qui l'a soumise à Valérie Boyer - eh oui !   Et que Valérie Boyer a pu soumettre à son tour au Sénat (en dernier lieu). 



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